MURCIE

Depuis des millénaires, différentes cultures méditerranéennes ont étendu sa culture depuis d'orient par tout occident, jusqu'à ce que les Romains ont régularisé sa consommation quotidienne, toujours liée à différents rôles et des responsabilités à l'intérieur de la société. À l'égal donc qui dans le reste du bassin méditerranéen, la culture de la vigne et l'importance du vin dans la zone datent de beaucoup de siècles derrière. Peu à peu, les processus de culture et de conservation sont allés mieux, jusqu'à arriver à l'oenologie comme science et à identifier le vin comme une valeur qui embaume la dimension simple agricole, mais aussi et surtout culturelle et ethnographique d'un territoire.

L'évolution rapide dans la production de vins pendant dernières années, contraste avec la lenteur et l'inertie de siècles antérieurs. Durant des siècles des processus étrangers ont été réalisés sans une apparente logique, en leur appelant une ' chimie ou une alchimie du vin ' et plus tard une ' physique du vin ', déjà plus pareil à une science. Avec le temps, les processus ont évolué et on a commencé à apprécier le vin, plus que par son apport énergétique, par son essence.

 

Dans le commerce, les Phéniciens il considéraient égaux d'important que les métaux précieux ou la bijouterie. Déjà dans l'époque romaine, le vin atteint la catégorie de boisson de consommation ordinaire. Mais de le boire il comportait de la même manière l'assomption de rôles déterminés dans la société, des responsabilités sociales et les honneurs qui n'étaient pas à la portée de tout le monde. Tout cela requérait un cadre adéquat : dans le simposium et autour d'un crátera (un pot grand et large dans lequel des Romains et des Grecs mêlaient l'eau avec le vin avant de le servir). La coupe se déplaçait dans un sens vertical et horizontal, comme si elle s'élevait d'abord vers les dieux et tout de suite entre les hommes.